- téléscripteur
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téléscripteur [ teleskriptɶr ] n. m.• 1897; de 1. télé- et lat. scriptor → scripteur♦ Appareil de transmission électrique des dépêches par un procédé quelconque. ⇒ téléimprimeur, télétype. Les téléscripteurs d'une agence de presse, d'un journal.
● téléscripteur nom masculin Appareil permettant d'écrire à distance par un procédé quelconque.téléscripteurn. m. Appareil télégraphique qui assure à la réception l'impression directe des dépêches.⇒TÉLÉSCRIPTEUR, subst. masc.TECHN. D'INFORM. ,,Appareil télégraphique permettant l'écriture à distance par un procédé quelconque`` (Arrêté du 12 janv. 1973 ds Néol. off. 1988, pp. 26-27). Les appareils de téléécriture, les téléimprimeurs sont des téléscripteurs (d'apr. FRANTERM Néol. 1984).— En partic. Appareil télégraphique qui permet d'imprimer à distance des messages ou des dépêches d'agences de presse sur une bande de papier continue. Les téléscripteurs d'une agence de presse, d'un journal; transmettre une information par téléscripteur; entendre crépiter les téléscripteurs. Le studio 102 est en liaison permanente avec 20 points chauds sélectionnés à Paris et en province. Les résultats dès leur arrivée sur les téléscripteurs, sont intégrés directement dans un ordinateur et immédiatement visualisés sur l'antenne. Les téléspectateurs sont ainsi informés au fur et à mesure des changements qui surviennent (Télé Star, 9 juin 1981, p. 30).Prononc.:[
]. Étymol. et Hist. [1898 d'apr. Pt ROB. 1967] 1912 (DES.-MULLER Impr.). Comp. de l'élém. télé-1 et du lat. scriptor « secrétaire, écrivain » pris dans un sens spéc. (v. scripteur). Bbg. PEYTARD (J.). Enq. sur la motivation et le contenu sém. des lexies préfixées par télé- . Beitr. rom. Philol. 1975, t. 14, n° 1, pp. 197-203.téléscripteur [teleskʀiptœʀ] n. m.❖♦ Techn., cour. Appareil de transmission électrique des dépêches par un procédé quelconque. ⇒ Téléimprimeur, télétype. || Les téléscripteurs d'une agence de presse, d'un journal.0 Dans les chambres souterraines, les téléscripteurs tremblent tout seuls le long du rouleau de papier blanc, et ils écrivent quelques paroles des Maîtres (…) Il n'y a que ces machines qui écrivent seules dans les chambres souterraines, dans les couloirs, sous les escaliers. Elles dialoguent d'un bout à l'autre de la terre, et on entend seulement le bruit de crépitement des caractères d'imprimerie qui frappent le rouleau de papier blanc.J.-M. G. Le Clézio, les Géants, p. 163.
Encyclopédie Universelle. 2012.
